Inspirée de l’histoire de l’automate joueur d’échecs - une supercherie ! - du baron von Kempelen, cette BD en propose une version féminisée. Olympia, comme son illustre prédécesseur, joue aux échecs. Elle ne perd jamais et, pour cette raison, est l’une des principales attractions d’une foire aux freaks pourtant riche en phénomènes incroyables. Un jeune homme, entraîné là par un ami, joue et perd. Mais il reste fasciné par l’automate.

Une façon agréable de s'intéresser aux limites de l'intelligence artificielle. À quel moment pouvons-nous considérer que l’automate ou le robot rejoignent l’être humain ? Suffit-il qu’il soit assez perfectionné pour l’imiter en tout point voire pour le dépasser en certains domaines ?

Vous pouvez aussi écouter sur Youtube le livre audio Le Joueur d'échecs de Maelzel d'Edgar Poe.