Les aventures de Laurent Kropst continuent. Il est doué et raisonnablement bosseur mais quand il arrive en Maths spé (voir Le théorème de Kropst, précédent roman d'Emmanuel Arnaud), il perd vingt places au classement et doit subir les railleries des redoutables redoublants. Désespéré, il se lance alors dans une exploration du fonctionnement de son cerveau.

Comme souvent, un peu d’air ne peut pas faire de mal et c’est peut-être dans l’amour, même à distance, qu’il trouvera la solution. Une illustration brillante de la phrase de Cédric Villani, Théorème vivant : « Dans un roman policier ou un épisode de Columbo, le raisonnement est au moins aussi important que la solution. »